 KyuubiAdmin
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 |  Sujet: 夢 - Yume Gakure no Sato  Sam 24 Sep - 0:08 | | 夢 - Yume  Fiche de Village
♠ Village shinobi : Yume Gakure [Anciennement Iwa Gakure]
♠ Pays : Tsuchi no Kuni
♠ Devise : « Que la Réalité s'effondre devant le Rêve. »
Yume
Iwa, présentement Yume, est taillé à même la roche, lui conférant des remparts naturels concrètement insurpassables pour en parler. Roche, terre, argile, tant de matériaux modelés avec dextérité par les shinobis à l’origine de ce village. Symbole de l’assurance de ces ninjas, les falaises comblant chaque entrée. L’ancien souverain de ces terres pensait que les ennemis se briseraient comme une vague sur ses obélisques fièrement tendus vers le ciel, l’assaut fut cependant d’une franche rapidité. Iwa, dotée d’une structure trop rigide et manquant de force armée fut incapable de réagir une fois leurs murailles écroulées sous la puissance de leurs ennemis. La tour du Kage, autrefois pile de roche branlante et peu esthétique avait la distinction d’avoir le plus haute vue du village. Entièrement détruite lors de l’assassinat de son habitant, se dressa ensuite à sa place un haut palais luxueux et contrasté de son environnement. Caprice des nouveaux souverains de ces lieux.
Yume. Autrefois, désigné par la dénomination Iwa. Récemment ployé sous les assauts maléfiques et éminents de Satori Tojou, l'institution à la politique réputée indomptable voit son assiduité dans le domaine corroborée. Yume répond désormais à la plus grande force militaire du monde ninja, attirant derrière son masque de communauté frugale, tous déserteurs. Le rassemblement de traîtres tous plus vils les uns que les autres laisse à croire un village en proie au désordre. Il n'existe en réalité qu'une seule règle régissant les rapports entre les individus, la loi sauvage du plus fort.
Tsuchi no Kuni
Les sables du temps ont toujours épargnés le pays de la terre, absent de la grande guerre et protégé par ses massifs rocheux. Une terre attribuée aux sauvages et aux ressources inexistantes. Un désert stratégique qui a longtemps protégé ses habitants. Même handicapé par un grand retard sur les 3 nations crées à l’aube de l’armistice, le village de la roche se pourvoyait de shinobis talentueux, résultant d’une formation austère à souhait. Ainsi, Tsuchi no Kuni eut un essor économique et démographique important. En constante évolution, ceci lui permit de rapidement faire son retard sur les 3 grandes nations connues à ce jour. Tsuchi no Kuni est désormais désignée comme étant la 4éme grande nation du monde ninja. Falaises symbolique de son envie de se dresser vers les cieux, roches alliées de sa rudesse, grisâtre comme la frugalité qui est définie. Un pays attaché à la définition de ses habitants, autrefois rigide mais libre. Désormais oppressés et menacés.
L’ironie narquoise, l’assurance et la rigidité du pays est ce qui causa sa débâcle. Trop sûr d'elle même, enfantine aux menaces qui pèsent sur le monde ninja, ses rumeurs furent semblables à un appel du pied au pire fléau qui parcourt les terres shinobis : Satori Tojou qui profita de la justesse militaire du pays pour en prendre le contrôle. Privé d’armée, Tsuchi no Kuni devient muet, feignant l’aveuglement à ce qui se passe dans son propre village martial. Mais l’arrivée des déserteurs entraine plus de demande qu’il n’y a d’offre. Le village, vaillamment refuse à nourrir le village privilégiant le bien de ces citoyens. Toutefois, l’illusion du contrôle qu’il se donne est vaine, dans ses heures sombres, ce n’est qu’une question de temps avant que le Daimyo soit retrouvé assassiné et que les ressources de toutes un pays tombe aux mains d’une organisation criminelle tortionnaire et machiavélique.
Politique
Iwa est souvenir, Yume est avenir. Intolérance et austérité pour vestiges d’idéaux, le régime planant est désormais celui de la terreur. Pulvérisant sans la moindre retenue toutes actions de rébellion ou de sabotage, les rares shinobis rescapés de ce que représentait Iwa se voient contraints d’admettre l’autorité de l'Ambassadeur et de son Second qui sont à la solde du Satori Tojou eux-mêmes, ou du moins de s’y soumettre à défaut d’y trépasser. Les meurtres découverts à l’aube sur le village n’horrifient plus personne, nul ne cherche même un coupable. La règle est de passer inaperçu, de vivre en espérant que personne ne vienne en décider du contraire. Il faut obéir aux ordres et ne pas décevoir, pour le bien de ses amis, de ses enfants. Les ninjas d’Iwa sont devenus terroristes, ne leur en déplaise. Devenant, malgré eux, l’armée de l’organisation terroriste. Hélas, les rescapés de l’invasion présentaient un effectif bien trop maigre. Et, devant les yeux incrédules des villageois, les portes s’ouvrirent aux déserteurs, ces derniers récupérant même un bandeau et un grade en échange d’une allégeance éternelle.
Enveloppée dans un manteau de tyrannie et d’horreur, les shinobis pourtant si différents sont unis sous la seule bannière de leur statut de Nuke-Nin. Dans ce Village où font lois les plus grands malfrats de l'Histoire Shinobi, l'ordre ne saurait exister, et sont condamnés à une vie de misère et de peine les quelques droites personnes qui y vivent encore.
Histoire
Iwa ou Yume, comment souhaitez-vous l’interpeller a un passé aussi mouvementé qu’éphémère. Pour cause, village fondé par des Clans fiers et droits comme la Roche, ils n'ont jamais laissé le moindre ennemi se mettre sur leur chemin. Investi d'un désir de conquête pour le moins envahissant, ils ont tenté de soumettre tous les Grands Pays sous leur coupe, perpétrant différentes guerres qui eurent des répercussions mondiales. Tout ça n'est désormais que passé. Feu Iwa était un village rigide, aux mœurs typiques du monde Shinobi. Ayant connu les plus grands Kage de l'histoire, les légendes font encore état des prouesses du Nidaime et Sandaime Tsuchikage pourvu d'un pouvoir qui semait dérision sur les Kekkei Genkai, un Kekkei Tôta : le Jinton. Austères mais aimants, leur force de caractère n’avait d’égal que leur force. Sous son égide, les ninjas vécurent une époque rassurante et propice à l’évolution... jusqu'à ce qu'un traître ouvre les portes à leurs ennemis.
Attaqué de front par les Pays Mineurs, Iwa fut la principale cible de ces derniers... et certainement celui qui en fit le plus les frais. Certains de pouvoir faire fit de ces quelques insectes, le Village comptait sur la solidité de ses remparts et l'ordre de ses troupes pour faire face à quelques Ninjas inexpérimentés... mais rien ne tint bon. Devant la force du désespoir et la hargne d'une succession de génération, Iwa se fit pratiquement écrasé. Repoussant à grand peine les envahisseurs, le Village ne devait sa survie qu'à l'avantage donné par le terrain. Et même lorsque la Cinquième Grande Guerre prit fin, le Village resta très diminué par les attaques... et fut la cible propice à un coup d'état orchestré par Ozeki Komeï en liaison avec l'organisation criminelle connue sous le nom de Satori Tojou.
Entre Marque Maudite, Glace et Sharingan, les facultés démoniaques de la Roue de l'Illumination firent voler en éclats les robustes défenses montagnardes du village. S’exprimant dans un pugilat démentiel où l’appât du sang fut rassasié, où les halos carnassiers étincelèrent dans chacun des iris de ces traitres aux âmes sombres, le village sombra dans l’apocalypse. Quelques minutes d’une nuit où les gerbes de sang parurent donner la nausée même aux étoiles, suffirent à la capitulation du village, avec pour point d’orgueil la déchéance de son futur Kage, tué des mains de Sagara Sanosuke, et balancé du sommet de sa tour. Détruit dans sa quasi-entièreté, les âmes tourmentées, Iwa devient Yume, littéralement Domaine du Rêve.
Cela fait quelques mois que Yume a vu le jour. Yume se rebâtit sur les ruines d’Iwa, le glas des infrastructures rocheuses avait sonné. La barrière naturelle telle que les falaises furent abattues, l’arrogance d’avoir une lande intouchable comme valeur. Désormais citadelle du mal, enfer sur terre aucunes vie censée ne s’approche de Yume. La cité, comme drapée dans une étoffe ténébreuse est l’origine des tourments ravageant l’ensemble des terres du monde. Et elle n’aspire qu’à accroitre ses maléfices.
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